Villa Junot

Avec Villa Junot, Iconic House fait souffler un vent nouveau sur les hauteurs de Montmartre – et sur l’hospitalité de luxe. Imaginée par les frères Thibaud Elzière et Robin Michel, cette collection de « maisons hôtelières » marie le confort d’un hôtel grand luxe à la liberté d’une maison rien qu’à soi. Leur mantra ? Faire rimer raffinement et décontraction, service palace et ambiance pieds nus.

Nichée dans l’un des quartiers les plus romantiques (et photogéniques) de la capitale, la maison surplombe la ville depuis les hauteurs boisées de Montmartre. Une véritable déclaration d’amour à Paris, à son histoire, à son imaginaire. Ici, pas de klaxons ni de cohue : seulement le chant des oiseaux, les pavés d’une avenue discrète et le Sacré-Cœur en voisin de palier.

Derrière sa façade typiquement parisienne, Villa Junot dévoile un monde à part. Sur 550 m², tout a été pensé pour le plaisir : cinq chambres en suite, une chambre pour enfants façon petit théâtre, un rooftop de 120 m² avec vue cinémascope sur les toits parisiens, un jardin (secret), une movie room et un espace bien-être façon mini-spa. Mention spéciale à la très belle piscine qui pourrait nous faire rater quelques musées parisiens.

Le tout, avec les services d’un palace : chef privé, ménage quotidien, conciergerie ultra-prévenante et house manager aux petits soins. « Nous avons voulu créer un lieu où l’on se sent vraiment chez soi, sans se soucier de rien », résument les propriétaires. Et on confirme : ici, tout est fluide, discret, impeccablement orchestré. Même les enfants ont droit à leur paradis – jeux, goûters sur mesure et petites surprises.

Montmartre n'a pas été choisi par hasard. Le quartier respire l’inspiration : celui des poètes et des pinceaux, des nuits bohèmes et des aurores pastel. Villa Junot rend hommage à cette tradition artistique avec un pied-de-nez bien senti aux surréalistes – en pleine année du centenaire du mouvement, s’il vous plaît !

On y croise des clins d’œil à Magritte, Dali ou Man Ray, disséminés comme autant de rêves éveillés dans les recoins de la maison. Une bibliothèque peinte façon illusion d’optique ? C’est Garance Vallée. Un mur en trompe-l'œil qui semble se mouvoir ? On le doit au peintre Mauro Ferreira. Un collage onirique dans le salon ? Lia Rochas-Pàris. Des vitraux surréalistes qui chantent des partitions invisibles ? Atelier Toporkoff. « Nous avons voulu que chaque pièce raconte une histoire, qu’elle déclenche l’imaginaire.» Pari réussi !